Composé de trois tomes de 218 pages chacun, constitué des épreuves de « ROMAN A EQUARRIR », Ed. Anakota, Paris, 1978. (dimensions : 34 x 24 cm, h : 3,7 cm).

Epreuves de Roman à Equarrir et acrylique.

Premier tome : Les carrés

Deuxième tome : Les carrés et les lettres

Troisième tome : Les lettres.

Exposé dans le cadre de l’exposition APRES LA FIN DE L’ART (1945 – 2003), au Musée d’Art Moderne de Saint-Étienne, novembre 2003 – février 2004 et reproduit au catalogue de l’exposition, Figure de la négation, Avant-gardes du dépassement de l’art, Ed. Art-of-this Century, Paris Musées, Paris, 2004.

(…) Il y a aussi un déplacement fondamental des éléments de base de l’écriture traditionnelle, le remplacement des signes ou des lettres par le carré. Ce qui est, au fond, une idée très simple.

Tresser une composition littéraire divertissante et rigoureuse à la fois. Un jeu sur signifiant et signifié qui travaille de pair pour se diriger vers une nouvelle idéographique « intégrante ». (…)

(…) Mais pour mieux répondre à ta question ou pour le dire différemment, il s’agit tout de même d’une idée - ou de l’idée - que je développe depuis le début, l’essence de ma tentative romanesque : un sujet qui me hante et qui porte le titre d’un nouveau roman  dont j’ai entrepris la rédaction et qui porte le titre de : «  De la première inscription du carré dans un discours hypergraphique » et c’est bien de cette inscription du carré, dans le roman hypergraphique dont il est question. (…) 

On dit que le grec est une invention du diable, mais c’est encore plus le cas de la métagraphie ou de l’hypergraphie isouienne ! (…)

Extraits de l’entretien d’Anne-Catherine Caron par Hugo Bernard (dont certains passages ont été publié en 2013 sous le titre d’Interview à Anne-Catherine Caron par Hugo Bernard).

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